André Bollier de Lausanne, avait une âme de pionnier quand il arriva à KC en 1955 pour y confectionner des pralinés dans une boutique siglée « Swiss Chocolates ». Il fallait oser dans ce trou perdu.
Aujourd’hui, son petit-fils René est aux commandes de cette entreprise qui a importé, l’an passé, 4 tonnes d’une base élaborée par Max Felchlin à Schwyz.
Claude-Yves Reymond