La protection de l’environnement est un axe fondamental de l’action de l’association, autour des enjeux du réchauffement climatique, de l’eau, de la biodiversité ou encore de la pollution plastique.
Autre pôle prioritaire, la cuisine durable, qui intègre le cycle de vie complet de l’assiette, plaçant les circuits courts au cœur de l’attention, ainsi que la préservation du patrimoine culinaire.
Enfin, sur le volet des enjeux sociaux et sociétaux, l’association met en exergue la parité, la diversité et les conditions de travail des employés, mais aussi le «géotourisme» et l’engagement à échelle locale, les propriétés étant très attachées et liées à leur environnement naturel, historique et économique.
Sur le climat, l’association entend mettre la décarbonation au cœur de son plan d’action et généraliser la mesure de l’empreinte carbone: 50 % de ses membres l’auront mesurée en 2025, contre 12 % sur l’année de référence de 2021. La lutte contre le réchauffement climatique étant une priorité forte, cela conduit également l’association à s’engager sur un objectif ambitieux de réduction de la consommation énergétique de – 40 % d’ici 2030.
En cuisine, le local et le bio sont déjà au cœur des pratiques, des saveurs et des savoir-faire des restaurants, avec déjà 30 % d’entre eux qui proposent des légumes à la fois bio, saisonniers et produits localement. L’association entend monter ce score à 50 % dès 2025.
Premier rapport de développement durable
«En quête d’une hospitalité en harmonie avec la nature» apporte une photographie complète des pratiques des membres de l’association en matière de développement durable et couvre de nombreux enjeux: la gestion des ressources, la préservation de l’environnement, la culture gastronomique et la responsabilité sociétale.
Comm. & Réd. partir-magazine.com
