Edition PRINTEMPS 2024

Slow tourism

France

| Bretagne

La diversité mise en avant, entre patrimoine, gourmandises, hédonisme et loisirs naturels de bien-être.


De gauche à droite : Chloé Portier (Stagiaire Destination Rennes), Charlotte Samson (Chargée de communication marchés étrangers – Comité Régional du tourisme de Bretagne), Vincent Aubrée (Directeur de la communication Destination Rennes), Aline Guiho (Responsable Pôle communication & Marketing – Golfe du Morbihan Vannes Tourisme) et Florence Gaulupeau (Chargée de presse étrangère – Comité Régional du Tourisme de Bretagne).

 

 

Dans une présentation récente à la presse romande, bien évidemment à la Crêperie d'Ouchy à Lausanne, Florence Gaulupeau du Comité Régional du Tourisme de Bretagne insista, avec raison, sur les contrastes de l'extrême ouest de la France. « Nous nous sommes engagés dans un processus pour un retour à l'essentiel et la préservation de la nature. Que cela soit le long des 2 700 kilomètres de côtes ou les 1 700 kilomètres de pistes cyclables sécurisées. Sans oublier les sites mégalithiques dont celui de Carnac, le plus connu. Et en ajoutant 4 000 châteaux et 15 centres de remise en forme, le compte est bon. »

 

Dans une découpe du territoire de la Bretagne en 10 destinations bien spécifiques, le choix est grand et satisfait les goûts de chacun. Envie(s) de les découvrir? Petit aperçu.

 

Embruns toniques

 

Pour une cure de bien-être, filez donc à Rosccoff, berceau de la thalassothérapie et l'un des plus grands champs d'algues d'Europe. Découvrez ensuite les 7 plages de la presqu'île de Saint-Jacut-de-la-Mer. Enfin, un brin de nostalgie du charme de la Belle Époque se déniche à Dinard, Saint-Briac et Saint-Lunaire sur la Côte d’Émeraude.

 

Villes et douceur(s)

 

S'il bruine, c'est l'occasion de flâner sous un parapluie à Vannes dont les maisons à colombages sont l'ADN médiéval de la cité du Morbihan. A Rennes, le Street Art est une curiosité tout comme le Marché aux Lices, deuxième plus grand marché de l'hexagone après Rungis. Vous y dégusterez une « galette-saucisse » (farine de sarrasin et viande de porc).

 

Le kouign-amann, quant à lui, est l'emblème de la gourmandise bretonne, créé par hasard en 1860 à Douarnenez. Du beurre, du beurre, du beurre... et du sucre. Bref ! Une tuerie.

 

« La Bretagne possède la capacité de surprendre ses visiteurs. Les contraires se croisent et s'attirent. On passe en un clin d’œil de la « melting pot » urbaine aux embruns d'Iroise » confie encore Florence Gaulupeau.

 

 

Reste à s'y rendre

 

En voiture, est-ce loin ? De la Suisse romande, environ 1 000 kilomètres, une étape est conseillée. En train : un TGV direct relie Paris-Montparnasse à Rennes en 1 h 25. En avion : Genève- Nantes (bien qu'en Loire-Atlantique, c'est la porte d'entrée pour la Bretagne maritime) ou Rennes (capitale pour le centre). Une voiture de location s'impose sur place : le réseau routier breton 2x2 voies est entièrement gratuit.

 

Claude-Yves Reymond

 

www.tourismebretagne.com

 

 

 

 

 

 

 

27.04.2022 13:15

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