Dans les régions centrales aux températures élevées (Kāchān, Yazd, Meiybod, par exemple), les maisons s’adaptent à l’architecture du désert avec de grands murs, une cour centrale dotée d' un bassin, des cyprès, des rosiers qui embaument et les tours du vent pour la fraîcheur en été.
Invisibles de la rue et généralement entourées par un mur, les maisons des nobles ou des familles riches étaient divisées en deux parties. L' Andarouni (l'intérieur) était réservé à la famille, (les femmes et les enfants) et inaccessible aux hommes étrangers. Pour y entrer les portes d’entrées possédaient deux heurtoirs en métal dont le sons différent permettait à la famille d’identifier le sexe du visiteur. L’autre partie de la maison le Birouni (extérieur), comprenait la salle de réception et de travail.
Quelques maisons traditionnelles de l’époque safavide et surtout de l’ère de Qadjar ont été restaurées en boutiques hôtels. Un témoignage superbe de l'architecture iranienne que les touristes étrangers apprécient particulièrement.
Une suggestion d'hébergement d'Azam Ayoubian, voyagiste en Iran, www.2001travelagency.com